Vous voulez apprendre à mieux placer et investir ? Ainsi, vous pourrez améliorer votre situation financière sans avoir à travailler plus, en développant vos revenus passifs et votre patrimoine. On vous explique tout, pas à pas. Nous sommes passés par là aussi. En devenant entrepreneur de votre vie, plutôt que de compter uniquement sur votre employeur et/ou l’État, vous pourrez grandement l’améliorer.
Suivez le guide ! Il se lit comme un livre, pour comprendre progressivement. D’abord, lisez au moins cette page et les 2 suivantes (« comment diversifier son épargne » et « les 12 règles essentielles ») pour assimiler les bases. Puis suivez les étapes de la feuille de route en page d’accueil pour mettre en pratique.
SOMMAIRE
- Pourquoi épargner ?
- Quel conseiller pour quel niveau de patrimoine ?
- Comment épargner ?
- L’importance de bien placer son épargne.
Pourquoi épargner ?
Parfois, on épargne sans raison particulière : c’est le cas lorsqu’on vit convenablement sans avoir à dépenser 100 % de ses revenus. Il y a alors une épargne « naturelle » et le patrimoine augmente mois après mois. Sinon, vos motivations pour épargner, plutôt que de dépenser tous vos revenus, peuvent être multiples.
Épargner pour investir ou financer un projet
Vous avez besoin de constituer un apport, pour investir ou acquérir un bien onéreux ou préparer un projet. Pour les jeunes actifs, l’épargne est souvent un premier pas en prévision d’un achat immobilier. Ce peut être également pour préparer une année de congés sabbatiques, avoir du capital pour créer une entreprise, financer les études des enfants, se faire plaisir en achetant un bateau à la retraite, etc.
Épargner pour gagner en sérénité
Plus votre patrimoine croît, et plus vous êtes serein car vous savez que vous pouvez continuer à vivre convenablement même en cas de difficultés professionnelles ou problèmes de santé. L’épargne est un moyen de gagner en tranquillité d’esprit et de se prémunir contre les aléas de la vie. Tout n’est pas prévisible, mais vous pouvez anticiper.
Par ailleurs, des études ont aussi montré qu’épargner augmente l’estime de soi. En se prouvant que l’on est capable de suivre un plan, de maitriser ses envies d’achat compulsif, de contrôler sa vie. Cela contribue à la satisfaction personnelle et finalement au bonheur.
« L’argent que l’on possède est l’instrument de la liberté, celui que l’on pourchasse est celui de la servitude. » (Jean-Jacques Rousseau).
Épargner pour compléter sa future retraite
Les Français craignent une perte de pouvoir d’achat, et c’est d’autant plus vrai pour les jeunes générations en raison du système de retraite par répartition de plus en plus déséquilibré. Le dernier rapport du COR (Conseil d’Orientation des Retraites) est éloquent : les cotisations des actifs augmentent, mais le niveau de vie des retraités va chuter dans les prochaines décennies.
En ce sens, il est sage d’épargner dès maintenant pour obtenir un complément de revenus qui sera le bienvenu au moment de la retraite. Comment préparer sa retraite ?
Épargner pour atteindre l’indépendance financière au plus tôt (FIRE)
Votre objectif peut être de vous libérer du travail, ne plus dépendre d’un employeur et quitter la rat race. D’après Nigel Marsh, l’équilibre entre travail et vie privée est bien trop important pour être laissé aux mains de son employeur. Donc votre projet peut « simplement » être de partir en retraite plus tôt, être autosuffisant, ne plus avoir à dépendre de votre travail et de l’État.
Aux États-Unis et de plus en plus en France, cette philosophie de vie gagne de l’importance et est connue sous le nom de FIRE (Financial Independence and Retiring Early). Notre article : mouvement FIRE, comment faire pour atteindre l’indépendance financière.
On parle aussi de « Fuck you money » , c’est à dire que l’argent donne la liberté de dire non. Ainsi, on peut choisir de faire ce que l’on veut, avec qui on veut et quand on veut.
Pour un même effort d’épargne, mieux vous placez et investissez et plus tôt vous serez libre d’arrêter de travailler. Car vos revenus passifs (dividendes, loyers, intérêts, etc.) suffiront à subvenir à vos besoins (avec un train de vie modeste ou aisé, à vous de le définir). Ainsi, vous n’aurez plus à vendre votre temps contre de l’argent.
Selon Mr. Money Mustache, référence en épargne et frugalité : en partant d’un patrimoine de zéro, avec un taux d’épargne de 15 % il faut 43 ans pour être financièrement indépendant. Naturellement, plus vous épargnez et plus vite vous serez indépendant financièrement. Ainsi, avec un effort de 30 %, comptez 28 ans pour atteindre l’indépendance financière. Avec un taux d’épargne de 75 %, seulement 7 ans ! Pour information, les français ont un taux d’épargne de 14 %. Sans aller jusqu’à 30 % d’épargne, on peut rester à cet effort d’épargne de 15 % des revenus et raccourcir le délai jusqu’à l’indépendance financière à condition de bien investir.
À quel âge comptez-vous partir en retraite ? 65 ans ? Ou voulez-vous profiter dès 40-50 ans ? « Souvent, les gens travaillent de longues et dures heures dans des jobs qu’ils détestent, pour gagner de l’argent pour s’acheter des choses dont ils n’ont pas besoin, pour impressionner des gens qu’ils n’aiment pas. » – Nigel Marsh.
Notre article : indépendance financière en 10 ans : quel capital faut-il épargner ?
Épargner pour transmettre un patrimoine à ses enfants (ou autres héritiers)
La transmission (aux enfants ou autres héritiers) peut se faire à votre décès ou de votre vivant. Sachez que les donations du vivant sont relativement peu taxées en France, surtout en ligne directe (enfants ou ascendants). Ainsi, on peut transmettre 100 000 € par enfant par parent tous les 15 ans en totale exonération de taxes. Pour un couple, cela fait donc 200 000 € par enfant tous les 15 ans. Par exemple, imaginons un couple avec 2 enfants : il pourra leur transmettre 800 k€ en 15 ans sans payer de droits de donation.
Bref, si l’on veut transmettre à ses descendants, cela s’anticipe également : nous expliquons tout dans notre article expliquant comment optimiser la transmission de son patrimoine et minimiser les droits de succession.
Épargner c’est une chose, mais il faut surtout BIEN épargner
Finalement, tout le monde a des projets et tous ces motifs pour épargner sont honorables. Mais ce n’est pas le tout d’épargner (« mettre de l’argent de côté »), il faut surtout BIEN épargner pour gagner davantage d’intérêts/loyers/dividendes et profiter des intérêts composés. Cela fera toute la différence dans la réalisation de vos projets (voir les graphiques plus bas).
Nous vous expliquerons dans la suite du guide comment concrètement orienter votre épargne vers des placements adaptés à vos objectifs et projets personnels. Vous pourrez également comparer les placements pour :
- choisir la meilleure assurance-vie,
- bien investir en immobilier,
- bien investir en Bourse,
- les meilleures solutions pour défiscaliser.
Par exemple, nous présentons ici 3 cas pratiques illustrant comment investir son argent.
Quel conseiller pour quel niveau de patrimoine ?
Avec l’essor d’internet et de l’information accessible à tous, les banques de réseau ne présentent plus beaucoup d’intérêt en dehors du compte-courant (et encore…même pour le compte-courant il vaut mieux aller en banque en ligne).
D’ailleurs, les agences ferment en masse ou comptent bien moins de « conseillers » (en réalité des vendeurs), et c’est tout le secteur qui doit se repenser pour offrir une vraie valeur ajoutée.
On peut donc résumer ainsi :
- Jusqu’à environ 250 000 € d’épargne à placer, donc pour une grande majorité des français : il vaut mieux sortir de sa zone de confort et s’informer sur internet (si vous lisez ces lignes, vous êtes bien parti !), pour éviter les conseils non objectifs et les placements de piètre qualité trop chargés en frais. Le plus simple est aussi le mieux : exploitez les meilleures niches fiscales françaises, c’est à dire l’assurance-vie et le PEA avant tout. Pour investir en immobilier, si vous n’avez pas les reins assez solides pour diversifier sur plusieurs appartements, regardez plutôt du côté des SCPI.
- Au-delà de 250 000 € votre tâche principale est de vous entourer de bons conseillers : un bon CGP (conseiller en gestion de patrimoine) pour accéder à des placements exclusifs (assurance vie luxembourgeoise) et à du conseil sur des sujets pointus (financiers, fiscaux et civils). Et un notaire, éventuellement un avocat fiscaliste, et un expert comptable.
- Au-delà de 10 M€ : vous pouvez confier sereinement la gestion de votre fortune à une véritable banque privée (J.P.Morgan par exemple…pas une banque privée de banque de réseau type BNP, SG, CA, LCL, etc.) ou à un family office. Ici, vous bénéficierez de vrais conseils, de bon niveau et non biaisés.
Pour plus de détails, nous vous invitons à lire notre article Comment choisir un un conseiller en gestion de patrimoine ? : nous présentons 5 portraits d’épargnants différents.
Comment épargner ?
Il ne s’agit pas simplement de mettre de l’argent de côté. Il s’agit surtout de bien placer et investir dans des actifs qui rapporteront des revenus passifs et feront progresser votre patrimoine.
Dépenser moins que ses revenus et se payer en premier
Pour beaucoup, l’épargne se caractérise par un petit effort régulier, afin de construire un patrimoine conséquent dans le temps pour servir de grands projets. Il s’agit de dépenser moins que ses revenus, pour dégager une capacité d’épargne. Vous dopez votre capacité d’épargne en augmentant vos revenus et/ou en baissant vos dépenses, l’idéal étant d’optimiser ces 2 leviers.
Pour maitriser vos dépenses sans perdre en qualité de vie, vous pouvez commencer par réduire vos frais bancaires. Il est vivement conseillé d’aller en banque en ligne pour économiser des frais et accéder aux meilleurs produits d’épargne.
Conseil de Nicolas : l’idéal est de se payer en premier. Par exemple, programmez un virement automatique de 100 € par mois sur votre assurance-vie, pour vous « payer » d’abord avant de payer votre propriétaire ou autre tiers.
Placer intelligemment
Un deuxième effort souvent négligé est celui de placer intelligemment : vous avez mis de côté de l’argent, alors faites-le travailler pour vous ! Il s’agit d’optimiser l’allocation de cette épargne vers les placements les plus performants et les plus adaptés à votre situation. Par exemple, l’assurance-vie est un produit d’épargne incontournable, mais il faut être sélectif pour choisir la meilleure assurance-vie.
Si cet effort de bien placer est souvent négligé quand on commence à épargner, c’est parce que son effet n’est réellement mesurable que sur des sommes importantes et plus encore à long terme. En pratique, gagner quelques points de rendement se traduit par des gains réellement importants sur son capital.
Vous allez le constater dans la suite de notre article. Sachez qu’il vaut mieux épargner 300 € par mois placés à 4 %, que 500 € par mois à 1 % : à long terme vous développerez un patrimoine bien plus important !
Idéalement, on va développer son patrimoine en exploitant en parallèle 2 leviers : la capacité d’épargne (pour investir en assurance vie et investir en bourse) + la capacité d’endettement (pour investir en immobilier).
Note de Nicolas : je vous invite à lire l’interview de StephaneF. C’est un bon camarade et un épargnant connu sur les réseaux sociaux. Son parcours impressionnant montre que même en étant de la « classe moyenne », on peut développer un beau patrimoine et devenir millionnaire à moins de 50 ans. Ses conseils rejoignent les nôtres et vous comprendrez tout l’intérêt de bien placer et la force des intérêts composés.
L’importance de bien placer son épargne
Les différences de rendement entre produits d’épargne peuvent parfois vous sembler dérisoires. Par exemple, si l’on se contente de regarder les intérêts d’un placement à 2,5 % comparé à 5 %. Sur un capital initial de 50 000 €, cela représente « seulement » une différence de 1 250 € d’intérêts la première année.
Mais retenez que ce manque à gagner est perdu tous les ans ! Pire encore, le cercle vertueux des intérêts composés est affaibli. Pour bien comprendre l’avantage d’une épargne optimisée, il faut saisir le concept central des intérêts composés.
Note : un rendement de 5 % peut vous sembler optimiste dans le contexte actuel. Et pourtant, ce rendement est tout à fait accessible à des portefeuilles diversifiés sur les meilleurs produits et orientés long terme.
La force des intérêts composés : explication
L’illustration ci-dessus est très importante pour comprendre la force des intérêts composés. La première observation est que la progression du patrimoine n’est pas linéaire dans le temps. L’enrichissement va en s’accélérant, ce que l’on appelle l’effet boule de neige.
L’effet boule de neige
L’explication est en réalité assez simple. Chaque année, lorsque les intérêts (ou dividendes) annuels sont ré-investis, le capital investi croît d’autant. Ainsi, même si le rendement n’augmente pas, les intérêts et le capital augmentent ! Supposons que vous touchiez un rendement de 5 % sur un capital initial de 50 000 €, cela représente un gain de 2 500 € la première année. La deuxième année, vous percevrez des intérêts sur 52 500 €, soit 2 625 €.
L’augmentation des intérêts perçus d’une année sur l’autre peut sembler faible. Mais lorsque ce même phénomène se répète année après année, l’effet devient très important. Ainsi, 10 ans plus tard, le capital initial de 50 000 € est désormais de près de 81 445 € et les intérêts annuels s’élèvent à plus de 4 000 € contre 2 500 € la première année.
Avec le temps, même un rendement légèrement meilleur entraîne une augmentation significative du patrimoine
C’est la deuxième observation que l’on peut faire sur le graphique présenté plus haut. Plus on avance dans le temps et plus la valeur du patrimoine optimisé (en bleu sur le graphique) semble distancer celle du patrimoine non optimisé (en gris sur le graphique).
Le graphique suivant illustre la différence de patrimoine entre deux personnes démarrant avec un capital nul. Marc épargne 500 €/mois et, négligeant ses placements, n’obtient que 1 % de rendement par an. Alors que Sophie, bien informée, épargne la même somme mensuelle mais sur des placements adaptés pour ses projets à long terme.
L’effort d’épargne est le même (500 € par mois), mais arrivé l’heure de la retraite, le capital de Sophie est plus du double de celui de Marc ! On voit bien qu’à 1 % on ne profite pas des intérêts composés (ligne droite), alors qu’en plaçant à 5 %, le capital travaille bien mieux et profite des intérêts composés (la courbe décolle à partir de 10 ans d’épargne).
Votre argent est à votre service, faites-le mieux travailler pour qu’il serve mieux vos projets (achat de votre résidence principale, financement des études de vos enfants, indépendance financière au plus tôt, rente à la retraite, etc.) On ne travaille pas pour l’argent, c’est l’argent qui travaille pour nous !
Avis de Nicolas : Vous confiez votre argent à un « banquier », qui n’est intéressé que de très loin au développement de votre patrimoine. VOUS êtes le 1er intéressé et vous méritez les meilleurs placements. Votre « banquier » ne connait pas le marché et ne peut vendre que ses propres produits. Nul autre que vous n’est mieux placé et plus intéressé pour ce faire : à vous de vous renseigner et d’optimiser avec l’aide de ce site. Prenez 2 heures maintenant pour organiser et optimiser votre épargne, cela vous fera gagner bien plus d’argent sur le long terme que faire quelques heures supplémentaires au bureau tous les mois.
« Les intérêts composés sont la huitième merveille du monde »
C’est ainsi que Albert Einstein décrivit la magie des intérêts composés. Du moins, c’est ce que raconte la légende !
Combien de temps pour que mon investissement double de valeur ? On obtient le nombre d’années nécessaire au doublement de son capital en divisant simplement 72 par le taux d’intérêt. Un capital placé à un taux d’intérêt de 1 % mettra près de 72 ans pour doubler. Au taux de 2 %, le placement doublera de valeur en 36 ans environ. À 7 %, 10 années suffiront pour doubler votre capital.
Exemple pour 100 000 € investis à 30 ans
Admettons que vous placiez 100 000 € à l’âge de 30 ans, à 7 %, le capital va grosso modo doubler tous les 10 ans :
- 30 ans = 100 000 € ;
- 40 ans = 200 000 € ;
- 50 ans = 400 000 € ;
- 60 ans = 800 000 € ;
- 70 ans = 1 600 000 € ;
- 80 ans = 3 200 000 € ;
- 90 ans = 6 400 000 € ;
- 100 ans = 12 800 000 €.
Vous aurez environ 12 millions d’euros de capital quand vous serez centenaire.
Vous ne serez probablement pas assez en forme pour en profiter (sauf si la médecine fait de gros progrès !) mais vous comprenez la force des intérêts composés à long terme, pourquoi Warren Buffett est devenu si riche en investissant plus de 70 ans, et pourquoi les vampires sont souvent de riches rentiers !
Note de Nicolas : dans la vie réelle, vous auriez sans doute craqué tôt ou tard sans laisser filer les intérêts composés pendant 70 ans. Car vous ne voulez peut-être pas être le plus riche du cimetière. Vous auriez peut-être profité du capital à 40 ans pour acheter une Porsche à 200 000 €, ou à 60 ans pour acheter une résidence secondaire à 800 000 €, ou à 70 ans pour faire des donations à hauteur de 1,6 M€ à vos enfants et petits-enfants. L’épargne est généralement de la consommation différée, pour s’offrir bien plus qu’avec le capital d’origine.
Pour aller plus loin : Intérêts composés : calcul et formules du secret pour s’enrichir.
Après cette page d’introduction, nous espérons vous avoir sensibilisé sur l’importance d’investir au mieux son épargne. Il existe autant d’épargnants que de façons d’investir son épargne. En page suivante vous verrez comment investir : nous vous présentons concrètement comment orienter votre épargne vers des placements et investissements adaptés à vos objectifs et projets personnels. Vous serez mis sur les bons rails.
Vous préférez passer à l’action dès maintenant ? Choisissez la meilleure banque et la meilleure assurance-vie. Et apprenez à bien investir en bourse et en immobilier.
77 commentaires sur “Introduction à l’épargne et aux placements : objectif mieux placer !”
Bonjour Ludovic, bonjour Nicolas,
Je n’ai pas trouvé d’article sur ADI envisageant l’investissement dans des SCPI au travers d’une SCI de gestion. Pouvez-vous écrire quelque chose à ce sujet : avantages/inconvénients.
En tout cas, merci pour tout ce qui est déjà en ligne,
Bonjour,
Il s’agit d’investir en société à l’IS (pas forcément SCI).
On en parle dans cet article :
SCPI : 5 optimisations fiscales
Bel avantage fiscal quand on investit via une société à l’IS dans des SCPI étrangères.
Bonjour,
Je voulais vous remercier car votre site m’apporte beaucoup de valeur et me permet d’en apprendre de plus en plus dans se domaine.
Etant étudiant en dernière année d’étude de kinésithérapie, j’ai conscience des enjeux pour le futur et qu’il est important de se prendre en main financièrement.
Cependant je me pose une question : N’aurai-je pas de souci à obtenir un prêt pour l’achat de mon local d’activité dans ma banque physique de toujours si j’ai mes placements PEA, CTO, Assurance Vie ailleurs chez les meilleurs courtier et donc moins d’épargne chez la banque prêteuse ? Notamment avec le contexte compliqué de prêt bancaire de nos jours ? Y’a t’il des solutions pour avoir son prêt mais en même temps optimisez au mieux ces placements ?
Merci d’avance pour vos conseils,
Pierre
Bonjour Pierre,
C’est une légende urbaine qui a la peau dure 🙂
En réalité, c’est rarement notre banque historique qui fait la meilleure offre pour les prêts. C’est très souvent une banque concurrente qui fait plus d’effort pour récupérer un nouveau client.
Donc nous avons nos placements dans des établissements X ou Y, et le prêt dans un établissement Z (qui peut d’ailleurs être une banque en ligne, Boursorama et Fortuneo sont très compétitits).
Bonjour,
Merci pour ces articles nombreux articles très enrichissants.
Après avoir parcouru vos conseils je vais me lancer pour ouvrir une assurance vie LINXEA Spirit 2.
J’ai déjà une assurance vie chez Swiss Life, ouvert depuis 1 an et demie (donc très récente) avec des frais sur versement de 1% et des frais de gestion de 0.96%, avec des fond de fond donc d’autres frais prélevés par Swiss Life.
Est il plus judicieux de fermer cette assurance vie et de tout placer sur la nouvelle ou de garder mon assurance vie en plus de la nouvelle ?
Merci pour votre aide précieuse !
Bonjour Amélie,
Linxea Spirit 2 est une excellente assurance vie.
Moins de frais et accès aux meilleurs fonds, donc l’épargne travaille bien mieux 🙂
Pour votre autre contrat, on répond à votre question ici : Déçu(e) de mon assurance vie : dois-je résilier et ouvrir ailleurs ?
On peut avoir plusieurs contrats d’assurance vie, mais pour alléger la charge mentale et mieux placer il peut être pertinent de fermer les assurances vie inefficaces.
Merci beaucoup pour votre réponse.
J’ai ouvert une assurance vie Linxea Spirit 2 et je verrais si je ferme l’autre.
J’ai aussi un PER que je pense de mauvaise qualité au vu de vos articles, je compte donc faire un transfert, vous (et bien d’autres d’ailleurs) mentionnez le PER Linxea Spirit comme le meilleur. Fait il mieux ouvrir un PER avec un autre assureur que l’assurance vie ?
Ce peut être le même assureur tant que le contrat est bon (le PER Linxea Spirit est excellent).
Le tout est d’avoir une allocation patrimoniale globale (fonds euro / actions / immo) pertinente selon vos projets, via les meilleurs contrats.
Bonjour. Merci pour votre site et vos informations éclairées. J’avoue me perdre quelque peu dans l’ampleur et la richesse des domaines abordés, je suis plutôt au niveau zéro en la matière. Retraités, nous plaçons mon épouse et moi nos économies depuis bientôt 3 ans dans des assurances vie et des PEA. 55K€ chacun en assurance vie chez Primonial, solde à ce jour 55500€, et 20K€ chacun en PEA chez notre banque historique, Société Générale, solde à ce jour 21300€. A la lecture de vos articles je pense , comme aurait dit Coluche que vous pouvez dire « mieux », mais par où commencer une reconfiguration si telle est la question? merci par avance. A JULIEN
Bonjour Julien,
Il faut bien commencer un jour 🙂
Je vois qu’en 3 ans, vous n’avez eu aucune performance ou presque.
Alors que les marchés ont été nettement haussiers sur la période : +39 % pour l’ETF World.
Donc gros manque à gagner.
Le problème vient du mauvais choix d’intermédiaire.
Trop de frais et mauvais choix de fonds.
L’assurance vie est une excellent enveloppe fiscale, mais il faut investir dans les meilleurs contrats (moins de frais et meilleurs fonds) : notre comparatif des meilleures asuurances vie.
Idem, le PEA est une excellente enveloppe fiscale, mais il faut bien choisir son PEA (moins de frais et accès aux ETF) : notre comparatif des meilleurs PEA.
Sinon votre patrimoine est condamné à faire du surplace (voire à régresser) et les intermédiaires s’enrichissent sur votre dos.
Si c’est encore trop flou pour vous, notre livre pour les débutants : investissez votre épargne.
Bonne continuation 🙂
Bonjour,
Merci pour cet article.
Je souhaiterais placer une partie de mon épargne sur un PEA. Mais je voudrais investir la somme progressivement (sur 6mois, 1 an) compte tenu des cours très élevés actuellement. Ma question est la suivante: où laisser les sommes restantes non encore investies mise à part les livrets A et LDD. Je préférerais ne pas placer l’argent sur un FE en AV car elle est destinée au PEA. J’ai vu par exemple que BOURSORAMA avait un livre bourso + (2.5% de rendement) sans frais de gestions.
Je vous remercie
Bonjour,
Voici des placements sécurisés et liquides représentant de bonnes alternatives aux livrets A et LDD :
– les livrets bancaires (comment le livret Bourso+),
– les fonds monétaires sans frais d’entrée,
– les fonds euros sont également intéressants car vous pouvez retirer le capital à tout moment.
Je vous renvoie à notre article présentant les meilleurs placements sans risque pour en savoir davantage sur ce sujet.
bonjour,
je suis entrepreneur ( auto entrepreneur) avec un CA de 14000 euros mensuels. j’ai un PEA à 5000 euros, deux assurances vie spirit 2 et linxea 2 avec un total de 30000 euros.
j’ai beaucoup de credit de consommation pour un total de 80000 euros restants à solder avec une mensualité de 2800 euros . avec mes dépenses mensuels ( loyer +crédits +nourriture)et épargne je suis à 6000 euros.
il me reste par mois : 6000 euros .
pour mieux épargner et gérer mon patrimoine , je réfléchissais à traverser en avance mes crédits en 1 an ? ou de faire un rachat de crédits ?
qu’es ce que vous me conseillez ?
Bonjour Henry,
Vous avez oublié l’information essentielle pour décider : quel est le taux des crédits conso ?
Si le taux est de 8 % par exemple il vaut mieux rembourser dès que possible !
Si les taux est de 2 % il vaut mieux conserver.
Généralement les crédits conso sont à des taux élevés et il vaut donc mieux ne pas en souscrire…
Bonjour,
merci pour votre réponse. c’était une erreur ces credits.
j en ai 6 c’est des taux à plus de 10% et les 7 restants je suis dans les 2 à 4% .
je rembourse les 6 rapidement et les 7 restants je les paye à mon rythme ou je fais un rachat de crédits en sachant j’ai un projet d’achat de résidence principale en fin d’année ?
merci d’avance
cordialement ;
Bonjour,
Les 6 crédits à taux élevé doivent être remboursés au plus vite.
Les 7 restants ont un taux très raisonnable, donc comme vous voulez. Les rembourser rapidement permettrait d’avoir 0 endettement pour faciliter l’achat immo.
merci pour la réponse. je vais les rembourser avant de faire le prêt
Bonjour Nicolas,
Il y a toujours un point qui me pose question et sur lequel bizarrement j’ai beau chercher je ne trouve pas de réponse. On parle souvent d’horizons de placement et de l’évolution de son allocation entre part risquée et placement sans risque au fur et à mesure qu’on se rapproche de la date de déblocage qu’on s’est fixée mais … nul part je trouve des ratios clairs du style si je souhaite débloquer dans quinze ans j’affecte 10 pourcents sur de l’obligation et 90 pourcents en actions, au contraire si j’ai prévu de débloquer dans un an alors c’est l’inverse …. bref pouvez-vous svp éclairer ma lanterne sur ce point à savoir existe t il des ratios aussi basiques (et généralistes) de la fameuse phrase on doit toujours avoir 3 mois de dépense courantes sur un livret A. Merci et bravo pour votre travail.
Bonjour Yannik,
Pas évident car il y a plusieurs paramètres : l’horizon de placement, mais aussi votre tempérament et votre aversion aux risques.
Un ratio souvent recommandé par les Américains, selon l’âge :
– à 30 ans = 30 % d’épargne sécurisée (livrets, fonds euros, monétaire) et 70 % en risqué (actions) ;
– à 40 ans = 40 % sécurisée / 60 % actions.
Etc.
=> Mais c’est vraiment « à la louche ». Il faut moduler selon vos projets et votre aversion aux risques. Si vous devez vous constituer un apport immobilier, alors il y aura une grosse somme à sécuriser.
Et à l’inverse, des personnes âgées en principe doivent sécuriser, mais si une personne de 80 ans est riche elle peut très bien avoir « seulement » 100 000 € sécurisés et des millions d’euros en actions (pour transmettre un maximum à ses hériters, capital qui travaille de façon transgénérationnelle donc horizon de placement très très long).
Déjà à la retraite et ayant vendu notre immobilier, OÙ et COMMENT placer son argent sans risque à un rendement correct, même fiscalisé.
Bonjour,
Voici notre article dédié : les meilleurs placements sans risque.
Mais je vous invite à poursuivre la lecture de notre guide aussi, car on explique comment diversifier son patrimoine (à long terme il vaut mieux investir en actions et en immobilier, plutôt qu’en placements sans risque) : https://avenuedesinvestisseurs.fr/introduction-a-lepargne-et-aux-placements/bien-debuter/
Article très intéressant, merci pour toutes ces informations !
bonjour ,
article bien écrit. vous ne faites état que de rendements positifs dans vos simulations et jamais en cas de pertes. Pourquoi ?
Il serait interressant de faire la même simulation en partant de l’historique des 20 ans dernières années, ce qui serait plus concret.
cordialement
Bonjour,
Nous nous basons sur les performances historiques des marchés actions et immobiliers, plus de 100 ans de séries statistiques.
Sur long terme les marchés ont été largement haussiers malgré quelques périodes de turbulence.
Bref, nos simulations sont concrètes.
Vous trouverez des statistiques ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/introduction-a-lepargne-et-aux-placements/approfondir/
Et ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/investir-en-evitant-les-biais-comportementaux-des-investisseurs-finance/
Notamment, performances de l’indice MSCI World Net Return depuis 1990 (marché actions monde), malgré des crises tous les ans : +830 %.
Attention pour obtenir la performance du marché, il faut investir passivement sur tout le marché. Ce que nous expliquons à travers tous nos articles.
Bonjour Nicolas,
Tout d’abord un grand merci pour partager toutes ces précieuses ressources via votre site.
Cela m’a permis (me permet) de reprendre mon épargne en main !
J’ai complété le fichier excel pour suivre mes comptes et mon patrimoine et j’avais les questions suivantes :
– Ayant travaillé quelques années au Royaume-Uni, j’ai un plan de retraite (basé sur un fonds de pension en gestion pilotée) que je ne peux pas rapatrié en France avant mes 55 ans (j’en ai 40)
– J’ai eu droit il y a quelques années à des actions gratuites de mon entreprise que je peux toucher dans quelques années
– J’ai un PER obligatoire via mon entreprise que je toucherai en rente une fois à la retraite
J’hésite à inclure ces actifs dans le tableau du fait de la volatilité, du terme, et de la non-maitrise que j’ai sur ces éléments. Je souhaitais avoir votre avis 😊
Merci,
Mathieu
Bonjour Mathieu,
Merci 🙂
Bien vu, c’est du patrimoine financier illiquide, à compter dans votre « patrimoine net total » mais pas dans votre « patrimoine net investissable ».
J’explique ici que votre patrimoine peut être représenté par 3 « camemberts » différents selon ce que vous cherchez à mesurer : https://avenuedesinvestisseurs.fr/outils/#menu1
Bonsoir Nicolas,
Merci pour ce guide formidable !
Une question sur les « vieux placements » : comme beaucoup de grands-parents, les miens m’ont ouvert un CEL et une ASSURDIX à La Poste dans les années 90. Complètement oubliés et retrouvés par hasard dans les papiers, je constate des sommes assez minimes ( 800 € les deux comptes ajoutés).
Vu les dates d’ouverture, ça me parait bien mais vu les produits (qui n’existent plus), je me demande si les garder est judicieux ou bien plutôt sortir ces sommes et les réinvestir ailleurs.
Un avis sur les produits vintage ?
Cordialement
Alex
Bonjour Alex,
Merci 🙂
Le CEL a un rendement très faible, en-dessous du livret A.
C’est un placement réglementé (par l’État) qui existe toujours.
On en parle ici, aucun intérêt selon nous : https://avenuedesinvestisseurs.fr/placements-monetaires/
Assurdix est juste un nom commercial, il faut savoir ce que c’est comme placement.
A priori, c’est une assurance vie.
D’après les infos trouvées, c’est une mauvaise assurance vie avec plein de frais.
Comparez aux meilleures assurances vie ici, sans frais sur versement, avec les meilleurs fonds et gérables en ligne : https://avenuedesinvestisseurs.fr/av-assurance-vie/les-meilleures-assurances-vie/
Je vous invite à suivre votre patrimoine sur Excel ou agrégateur, pour ne plus oublier des placements au fonds des tiroirs 😉 : https://avenuedesinvestisseurs.fr/outils/#menu1
Bonjour Nicolas,
Merci beaucoup pour toutes ces précisons. Je vais donc réorienter ces fonds vers des produits plus performants.
La création du tableau Excel sera l’atelier du dimanche.
Bon été et hâte de lire vos prochains articles !
Bonjour,
Je me pose la question depuis ces derniers temps si mon PEL (à 2,5%) est toujours utile étant donné l’inflation actuelle qui n’est pas près de stopper.
J’ai environ 65% de mon capital financier détenu sur mon PEL et le reste est investi de façon diversifiée comme vous le préconisez si bien dans vos articles (ETF, SCPI, Fonds euros…)
Serait-il plus judicieux de casser ce PEL pour pouvoir en réinvestir une grande partie sur mes autres supports (PEA, AV, SCPI…) ? Et d’après vous lesquels seraient à favoriser ? (je précise que je suis en location et employé en CDD).
Merci et félicitation pour votre travail toujours aussi approfondi.
Bonjour Jonathan,
Et encore vous avez un PEL d’ancienne génération qui rapporte encore 2,50 % !
Les nouveaux PEL sont rémunérés à 1 % brut : https://avenuedesinvestisseurs.fr/placements-monetaires/plan-epargne-logement/
Ceci dit, pour de l’épargne sécurisée sans risque de perte en capital, difficile de faire mieux que 2,50 %…même si ça rapporte moins que l’inflation donc perte de pouvoir d’achat.
Donc à vous de voir ce que vous souhaitez sécuriser, et ce que vous souhaitez investir à long terme avec meilleure espérance de rendement mais un risque de perte en capital (actions, immobilier…).
C’est ce que l’on appelle l’allocation patrimoniale et cela dépend de vous, de votre aversion aux risques et de vos projets : https://avenuedesinvestisseurs.fr/allocation-patrimoniale-repartition-allocation-ideale-actifs/
De mon côté, j’ai toujours un matelas de sécurité en fonds euro (plusieurs dizaines de milliers d’euros).
Et le reste est investi principalement à long terme en actions et immobilier principalement.
Bonjour
Pourriez-vous me donner votre point de vue concernant l’investissement en pierre papier,…,
est il préférable d’investir en SCI ou SCPI au sein de l’assurance vie?( moins de frais en SCI…)
De même, PEA ou assurance vie pour la partie actions,trackers, …?
Merci d’avance
Bonjour Nicolas,
Investir en SCPI, SCI ou OPCI ? Notre dossier : https://avenuedesinvestisseurs.fr/investir-scpi-opci-sci-differences/
Trackers en assurance vie ou PEA ? On en parle ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/trackers-pea-assurance-vie-quelle-enveloppe-privilegier/
Votre documentation est un petit trésor
Bonjour,
Vos articles sont vraiment très complets et bien expliqués pour les personnes novices dans l’investissement. Un grand merci !
Bonsoir Nicolas,
Merci pour votre article de blog.
Comme vous le dites dans votre article, une différence de rendement faible peut créer une grande différence sur notre patrimoine à long terme. Et en tant qu’humain, nous avons du mal à visualiser les intérêts composés sans graphiques.
Excellente soirée et bonne année !
Bonsoir Gwenn et merci pour votre retour.
Les graphiques et les résultats chiffrés sont essentiels pour illustrer !
Bonne année 🙂
Bonjour,
Je me posais une question concernant la notion de projet vis-à-vis d’un placement.
Est-ce qu’il faut voir qu’un projet équivaut à un contrat d’assurance vie ? ou il est conseillé aussi de diversifier car cela peut impacter le rendement ?
Par exemple, je prépare un projet d’achat RP pour dans 5 à 10 ans. Je comptais placer l’agent dans une AV en gestion piloté chez Nalo.
J’ai déjà une AV de précaution récemment construite chez eux et j’aime bien leur principe de division par projet, tout est simplifié, il suffit de rentrer l’horizon de placement.
Cependant, plus je li vos articles plus je me demande si je ne devrais pas aussi diversifier pour ce projet, par exemple avoir une AV supplémentaire chez Linxea.
Ce qui me fait réfléchir c’est que (par exemple) je comptais mettre 10% de mes revenus chaque mois dans ce projet, est-ce que diviser en deux AV, chacune à 5% fait du sens ?
Je me pose peut être trop de questions, je commence à peine à investir.
Dans tous les cas vos articles sont super !
Très bon travail.
Bonjour Slim,
On aime beaucoup Nalo, cf notre classement des meilleures gestions pilotées : https://avenuedesinvestisseurs.fr/av-assurance-vie/gestion-pilotee/
Mais si on épargne tout chez Nalo, on a tout notre argent chez le même assureur (Generali) et on repose entièrement sur la gestion de l’équipe Nalo.
Nous sommes plutôt partisans de diversifier les contrats d’assurance vie comme expliqué ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/av-assurance-vie/les-meilleures-assurances-vie/#diversifier
Sachant que l’on trouve des assurances vie plus adaptées à certains projets : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comparatif-assurance-vie-choisir-contrat/
Au niveau des intérêts composés, sur une même période cela ne change rien d’avoir 1 produit qui travaille, ou x produits qui travaillent.
Merci beaucoup pour votre réponse.
Je vais tâcher de continuer à étudier vos articles.
Bonjour,
Merci pour la pertinence de vos articles.
Je travaille dans une banque en ligne que vous citez souvent et je partage bien souvent vos points de vue 😉
J’ai une question, un peu basique : comment calcule-t-on son patrimoine ?
Doit-on inclure le prix de sa résidence principale ? Et soustraire le montant de capital restant dû ? Sachant qu’on peut avoir payé un certain prix sa maison, sans savoir à quel prix elle se revendra… Et d’ailleurs on peut imaginer ne jamais la revendre, donc ce n’est pas de l’argent que l’on peut placer…
J’avoue que quand les banques demandent l’évaluation de notre patrimoine, je ne sais jamais que répondre…
Merci de votre réponse !
Bonjour,
On explique ici les 3 façons de compter son patrimoine : https://avenuedesinvestisseurs.fr/outils/#menu1
Il y a 3 lectures possibles selon ce qu’on veut mesurer.
Quand une banque demande le patrimoine, elle souhaite le patrimoine NET total. Donc il faut tout inclure y compris la résidence principale. C’est du net, donc on prend le brut (estimation de l’immobilier à la valeur du marché par exemple sur le site Meilleurs Agents) et on retire le capital restant dû (tableau d’amortissement des crédits).
Merci, c’est noté ! Je compte bien explorer tous les coins et recoins de votre blog 😉
Bonjour,
Vos consils sont intéressants, est ce que vous les éditez en pdf svp?
Cordialement,
Bonjour Mathias,
Oui notre guide de l’épargnant au format PDF est ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/outils/
Bonjour Messieurs,
J’ai trouvé tout à fait par hasard votre site et je peux dire que les premières lignes que je viens de lire m’encourage à continuer tellement vous êtes clairvoyants. Merci à vous de nous faire profiter de votre expérience qui me semble désintéressée.
Bonjour Pascal,
Merci pour votre agréable retour 🙂
Nous sommes heureux de transmettre nos connaissances et qu’elles puissent servir à tout le monde !
Bonne lecture
Bonjour,
Merci beaucoup pour tous vos contenus. Ils m’ont éclairé sur bien des points. Et pour moi, la révolution est en marche!
Cependant, je me posais une question depuis le début de mes lectures sur votre site. L’argent que l’on pouvait garder pour acheter une voiture ou prévoir des travaux ou un voyage, où le met-on? retirer cet argent d’une assurance vie avec rendement intermédiaire ou agressif avec des obligations, ça ne doit pas aider à sa productivité.
En lisant un de vos articles sur les assurances vie et sur le fait de diversifier, j’ai peut-être compris. Je crois avoir vu que vous possédiez plusieurs assurances vie dont une à haut rendement (donc je suppose à placement long ) et une entièrement en fonds euros. Est-ce que c’est cette dernière qui vous sert pour les « besoins » dont j’ai parlé précédemment? Étant donné sa progression à priori plus linéaire?
Encore merci,
Bonjour Sébastien,
Bien vu !
En plus de mon épargne de précaution (5 000 € sur livret A pour les imprévus), j’ai différents contrats d’assurance vie, pour servir différents objectifs :
– projets court terme (voiture, travaux, vacances) : contrat 100 % fonds euro ;
– projets moyens terme (études des enfants) : contrat en gestion pilotée équilibrée + contrat en trackers ;
– projets long terme (retraite) : contrat en gestion pilotée dynamique + contrat en immobilier SCPI.
On l’explique ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comparatif-assurance-vie-choisir-contrat/
Bonjour,
Merci pour votre site, vos rubriques claires, vos conseils bien argumentés.
J’ai 43ans, marié, 2 enfants de moins de 6ans. Initialement peu enclin à m’intéresser aux placements, je me rends compte qu’aujourd’hui mon manque de stratégie pour mon épargne doit être adressé. Heureusement, une partie de cet épargne est correctement placée à travers les PEE et PERCO de l’entreprise dans laquelle je travaille (je faisais juste en sorte de bénéficier des abonnements) et aussi une SCPI corum origin pris l’an dernier en nue propriété (15keuros placé l’an dernier). Par contre pour le reste, c’est pas brillant. J’ai un PEA en gestion pilotée par une société locale (celle de mon beau père) mais concrètement après des hauts et des bas je me retrouve 5 ans après avec le même niveau de 70Keuros (donc franchement pas satisfait et ma confiance s’est fortement érodée) que ce que j’avais investi et en lien avec des mauvaises performances identiques j’avais fini par sortir d’une assurance vie également proposée par la même société, de nouveau sans gain pour moi (donc des pertes vs l’inflation), pour poser 70Keuros sur un livret PSA banque. Et aujourd’hui ma banque me propose des placements et c’est en recherchant sur internet des comparaisons que je suis tombé sur votre site.
J’en viens à ma question : en admettant que je trouve le bon mix de placement (par exemple un PEA avec des trackers chez Fortuneo), 3 ou 4 assurances vies (avec une partie en fonds euros et le reste de nouveaux en actions), il ne me paraît pas judicieux de tout sortir et replacer d’un coup car les marchés semblent hauts ? Quels conseils pouvez-vous m’apporter concernant le pilotage de la transition ?
Merci d’avance
Bonjour Rémi,
L’indice actions MSCI World a eu une performance de +90 % en 5 ans.
Donc que vous ayez fait du surplace pendant 5 ans sur votre PEA, c’est une gestion clairement calamiteuse…vos 70k€ auraient dû atteindre environ 130 k€ en 5 ans ! (Cela aurait été la performance en investissant simplement sur un tracker World, ou sur une bonne gestion pilotée).
Mais le mal est fait et il vaut mieux agir tard que jamais !
Vous pouvez consulter ici notre comparatif des meilleures gestions pilotées : https://avenuedesinvestisseurs.fr/av-assurance-vie/gestion-pilotee/
Vous verrez ici nos bonnes pratiques de l’investissement en bourse (4 règles d’investissement passif à long terme) : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comprendre-investir-bourse/#menu3
Et dans notre FAQ, on répond à la question du timing : https://avenuedesinvestisseurs.fr/faq-questions-bourse/#bon-moment-investir-bourse
Bonjour et Merci Nicolas,
Oui je ne peux que partager la mauvaise gestion de mon PEA. Donc je devrai le transférer ailleurs : sur un ensemble de tracker chez fortuneo. Pour ce qui est de mon épargne en livret qui est bien trop élevée je vais également la transférer soit sur des SCPI soit sur de l’assurance vie Linxea en protégeant une partie en fonds euros et en réinvestissant de l’autre côté en actions. Je dois définir le mix allocation.
Ma question est pensez-vous qu’il est raisonnable dans le niveau de marché dans lequel nous sommes de tout réinjecter en action en une seule fois ou alors de programmer sur 1 an (ou plus) des transferts par exemple de livrets vers les actions ?
Merci de votre aide,
Rémi
Bonjour Rémi,
Vous pouvez réfléchir à votre allocation patrimoniale globale (livrets, fonds euro, actions, immobilier…) ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/allocation-patrimoniale-repartition-allocation-ideale-actifs/
Pour l’investissement en actions, je vous avais mis le lien vers nos 4 bonnes pratiques…notamment l’investissement progressif en point 3 : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comprendre-investir-bourse/#menu3
Merci pour votre réponse, je vais sans doute du coup faire un peu des 2 : placer la 1/2 de mon allocation cible en action d’entrée puis monter à 100% de la cible sur 12 mois. Je vais devoir regarder comment opérer cela concrètement.
Merci en tous cas,
Bonjour,
Étant actuellement en phase de remplacement de mon véhicule principal vieillissant, je me pose la question du financement, comptant / crédit / mixte … (la LOA ne correspondant pas à mon besoin).
Votre site est une source d’informations de qualité pour la gestion de patrimoine et vos avis pertinents, ainsi j’aimerais avoir votre avis sur ce sujet.
Doit-on, de manière générale, éviter le crédit pour des biens de consommation tels qu’une auto ? Surtout en ces périodes ou l’épargne sécurisée est si peu rémunérée.
D’avance merci 😉
Bonjour JM,
Généralement, on investit à crédit pour l’immobilier ou les investissements entrepreneuriaux. Pas pour des biens de consommation qui vont se déprécier avec le temps.
SAUF si on peut obtenir un taux bas (moins de 2 %) et que l’on sait placer convenablement (au-dessus du taux de l’emprunt, ici 2 % par exemple).
Ainsi, on garde son argent et on le fait travailler à un meilleur taux que le coût de l’emprunt. Et actuellement, on peut facilement emprunter autour de 1 %, l’argent est quasiment gratuit…donc de nombreux épargnants empruntent même s’ils ont les moyens d’acheter comptant pour garder leur argent bien placé.
On aborde aussi la question du crédit et du levier de l’endettement ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/questions-reponses-finance-personnelle/#effet-levier
Merci pour votre réponse.
Oui c’est tout le dilemme, évaluer la différence selon les taux de crédit et de placement.. Boursorama propose un crédit conso/auto à 0,95%, donc tout est dans le choix du placement et sa rémunération…
Oui Boursorama est généralement très compétitive sur leur crédit conso.
Si vous lisez bien ADI, vous n’allez pas placer dans un livret (ils rapportent près de 0 %) mais vous allez placer bien au-dessus ! Exemple d’une allocation patrimoniale équilibrée ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/allocation-patrimoniale-repartition-allocation-ideale-actifs/
Merci pour votre contenu pédagogique de qualité. Si seulement chaque Français commençait à appliquer le principe de se payer en premier même seulement 5 % des revenus de salaires sur des ETFs classiques MSCI, World, ou autres, même sans leverage, cela aurait un impact énorme sur nos prochains niveaux de retraites futurs qui risquent de faire couler beaucoup d’encre encore à l’avenir. Bref, nous devons changer notre regard sur le plaisir, la douleur, la gratification, l’effort. Finalement parler d’argent c’est parler de développement personnel.
Bonjour Alexis,
Merci. Exactement, on est d’accord.
Et puis l’épargne, c’est un petit effort immédiat (et bien souvent indolore car on peut très bien se faire plaisir sans dépenser, on peut commencer par supprimer les dépenses les plus superficielles ou faire du ménage dans ses contrats), finalement pour une consommation différée pour servir un plus grand projet avec plus de satisfaction.
Merci pour ce formidable travail d’initiation.
Cela dit je vous laisse faire vos recherches sur la citation d’Einstein, c’est un apocryphe grotesque indigne de la qualité de votre site.
Bonjour Doga,
On attribue souvent à Einstein la citation « les intérêts composés sont la 8ème merveille du monde. Celui qui les comprend les gagne et celui qui ne les comprend pas les paie ». En lien avec l’expansion de l’univers.
Mais il est vrai que rien ne prouve que cette citation vienne réellement de lui, peut-être est-ce une légende ! Mais une belle légende et sur un fondement réel, les intérêts composés ont vraiment un effet puissant à long terme 🙂
Bonjour Nicolas et Ludovic,
La plupart des placements intéressants (soit à travers l’épargne cumulée investie ou via un capital que l’on aurait à placer) sont dans une optique long terme et/ou via capitalisation des gains.
SI l’on souhaite disposer des revenus périodiques (en complément de revenus) que ce soit mensuels, trimestriels, voir annuels, quel est selon vous le ou les supports de placement/ d’investissement à privilégier ?
Vendre régulièrement des ETF ou des parts d’AV en hausse ? Faire des allers retours via un CTO ? …..
Merci d’avance pour votre retour et vos éclairages
Bonjour Stéphan,
En principe, soit on est en phase de capitalisation, soit en phase de consommation (rente).
Pour maximiser la capitalisation, on réinvestit les gains.
Et quand on passe en phase consommation, on va tirer des revenus réguliers de ses investissements en limitant les « frottements fiscaux » : sortie régulière d’assurance vie de plus de 8 ans et de PEA de plus de 5 ans (exonération d’impôt sur le revenu), revenus locatifs de LMNP bien optimisé fiscalement (assiette taxable 0 €), résidence principale (loyers implicites non imposés).
J’en parle ici, dans l’article retraite (phase de consommation du patrimoine, alors que la vie active est traditionnellement la phase de développement du patrimoine) : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comment-preparer-sa-retraite/
La limite de 100000€ euro par parent par enfant semble d’être plus le cas. C’est plutôt 31865€ maintenant ?
Bonjour Mario,
On parle de transmission de patrimoine du vivant (donation). Les exonérations de taxes (droits de donation) s’additionnent et cela n’a pas changé depuis des années :
– abattement de 100 000 € tous les 15 ans par enfant par parent ;
– don familial de somme d’argent de 31 865 € tous les 15 ans, par enfant majeur et pour un donateur de moins de 80 ans.
Tous les détails ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/droits-succession-transmission-patrimoine-heritage/#donation
Ainsi, des parents avec 2 enfants peuvent transmettre plus de 1 million d’euros sur 15 ans sans taxes. Finalement en France, contrairement aux idées reçues, les transmissions de patrimoine sont vraiment peu taxées si on s’organise et anticipe.
Merci, Nicolas. Je viens de l’étranger et votre site m’aide beaucoup. Mille mercis !
Vraiment trop top votre site
Je m’abonnne !
Je viens de découvrir ce site.
Un grand bravo, on se sent vraiment conseillé ici et pas poussé à investir dans tel ou tel produit. Continuez comme ça !
Très intéressant ce site, c’est très bien expliqué. Je vais continuer de lire :). Merci
Merci Matthieu, bonne lecture !
Bonjour. J’ai 0.5M d’euros à investir. Pourquoi déconseillez vous de travailler avec de banques privées? Je pense, par exemple, à ODDO BHV, SwissLife, Milleinis…
Bonjour Pierre,
Disons qu’il y a banque privée et banque privée.
Les banques privées « cheap » accessibles dès 200 k€ vont proposer des produits un peu moins mauvais que ceux de la gamme grand public, et le conseil sera un peu plus poussé. Cela reste quand même globalement léger et il faut prendre du recul sur ce qui est proposé car c’est rarement de l’architecture ouverte : les banques vous conseillent seulement leurs propres produits, alors il faudra bien analyser et comparer ce qui vous est vendu avant de signer.
Les banques privées dignes de ce nom sont accessibles à partir de 5 M€ environ et à ce niveau le conseil devient vraiment bon et objectif : vous êtes entouré par de vrais professionnels de l’investissement, de la fiscalité, du droit, etc. Et avec une grande liberté de solutions d’investissement. Avec ces établissements (JP Morgan, Rothschild par exemple) on peut quasiment signer les yeux fermés.
Nous vous recommandons de lire cet article : https://avenuedesinvestisseurs.fr/quel-conseiller-pour-quel-patrimoine/
La piste des CGP (conseillers en gestion de patrimoine) est à explorer également à votre niveau (500 000 € à investir), mais il faut être sélectif. Si vous voulez, nous connaissons un cabinet de conseil en gestion de patrimoine qui nous a fait bonne impression par son souci du conseil et ses solutions d’investissement, nous pourrons vous mettre en contact en privé.
Bonjour,
Merci pour votre article très informatif.
Vous parlez ici d’intérêts composés avec votre graphe. Cependant vous encouragez aussi l’écremage et le louchage régulier chaque 6 mois. Si l’on applique ces mesures, on ne réinvestit pas les intérêts en plus du capital qui lui reste fixe en fait.
Si j’investi 50 000 à 5% et que j’écrème mes 5250 en plus-value, je ne réinvesti donc que 50 000 non ?
Bonjour,
Merci pour votre commentaire pertinent.
En effet, pour profiter au maximum de l’effet des intérêts composés, il faut laisser « composer » le stock de capital.
Ceci dit, il y a une dérogation à la règle pour la part de ce patrimoine investie en actions (admettons 20 %) : il est recommandé de revenir sur la cible que vous vous êtes fixé (20 %) en allégeant (ce que vous appelez « l’écrémage ») quand les marchés ont beaucoup monté et en renforçant (« louchage ») quand les marchés ont baissé. C’est ce qu’on explique ici en 4ème point : https://avenuedesinvestisseurs.fr/comprendre-investir-bourse/#menu3
cher Nicolas, cher Ludovic,
Du haut de mes 57 ans, je voudrais vous dire que vous faites oeuvre utile.
je me suis toujours paye moi-meme, c est a dire en mettant un % de mes revenus de cote des reception de ma paie mensuelle, pourcentage modeste au debut, beaucoup plus eleve depuis 10 ans car j ai la chance de bien gagner ma vie,
ce qu il faut retenir, c est la magie des interets composes.
Je suis maintenant multi-millionnaire, et a l abri.
Je conseille l acquisition de la residence principale,meme si je dois reconnaitre que ce n est vraiment pas facile dans les grandes villes.
Mon patriimoine est compose a 25 %de ma residence priincipale, 20% de scpi que j aurai rembourse a l age de la retraite, 20% en assurance vie, 25% en actions et 10% en divers dont quelques hectares de foret herites,J ai eu un peu d heritage que j ai immediatement mis de cote.
l important est de limiter le frottement fiscal ( Assurance vie et Pea).Je n ai jamais trouve de solutions de defiscalisation interessantes.Mefiance!
L autre sujet est de decoreller les categories d actifs: toutes ne performent ou ne souffrent pas au meme moment. Il ne faut pas mettre ses oeufs dans le meme panier.
Je regrette un peu de ne pas avoir investi plus en actions quand j etais plus jeune.
il n en reste pas moins que je suis a l avri, multi-millionnaire.Je suis persuade que, meme avec des revenus moyens, on peut finir millionnaire a la retraite.
Des qu on a constitue son epargne de precaution liquide ( 3 a 6 mois de revenus), il faut investir en faisant travailler durement son argent’et s inscrire dans le temps.
En suivant vos conseils simples et de bon sens, on arriive au but.Un grand merci pour votre site!
Bonjour,
Merci beaucoup pour votre retour d’épargnant expérimenté !
Nous sommes sur la même longueur d’onde, ce sont les méthodes simples et efficaces.
Effectivement même avec des revenus moyens on peut finir millionnaire à la retraite, on en fait la démonstration ici : https://avenuedesinvestisseurs.fr/partir-a-retraite-1-million-deuros-malgre-salaire-moyen-exemple-realiste-a-lappui/
C’est surtout une question de discipline.
Il faut comprendre l’importance de la diversification, des intérêts composés, ne pas être obsédé par la défiscalisation (l’objectif 1er est de développer son patrimoine, pas de payer moins d’impôt avec des investissement moins rentables).
Effectivement on trouve que le PEA et l’assurance vie sont les meilleures niches fiscales françaises, pour composer sans friction fiscale. Rares sont les Français à s’en rendre compte.
Bonne continuation !